Lundi 27 mars 2017
Miss Erena Ichinose se présente à un entretien d’embauche pour un emploi d’assistante de direction
Elle s’est vêtue pour l’occasion d’une mini-robe grise moulante et de ses belles chaussures rouges, avant d’être reçue au domicile du patron de cette entreprise de construction
Alors que le directeur la questionne sur ses motivations, l’iPhone de la Miss lui annonce un SMS
Dans son insouciance naturelle, Erena prend spontanément son téléphone et se met à l’aise jusqu’à poser une jambe sur la petite table ronde pour lire le message reçu, devant l’air à la fois interloqué et amusé du grand patron !
Après avoir lu le message, la belle semble flotter dans un moment de confusion. Elle pose son iPhone et se passe la main dans les cheveux en soufflant « pfouuuu j’ai chaud ! »
Totalement distraite, voilà qu’Erena s’assoit sur la table juste devant le directeur, dont les yeux deviennent gros comme des billes à la vue des jambes sexy et magnifiques de sa future secrétaire !
C’est alors qu’Erena lui dit : « Oh je suis désolée M. Smith, je ne sais pas si j’ose mais….. Je n’ai pas vraiment le choix, je suis obligée de vous demander un immense service«
Et l’improbable se produit : voici que la belle Erena glisse ses mains sous sa robe et retire lentement sa petite culotte blanche à dentelles, la faisant glisser le long de ses douces et longues jambes !
Le patron est bouche bée, paralysé par la vision ultra-sexy que lui offre cette prétendante au poste de secrétaire
Il en croit à peine ses yeux et ses oreilles lorsque la belle lui tend le bout de tissu à dentelles en lui disant d’une voix fébrile « Je suis vraiment confuse de devoir vous demander cela, mais pouvez-vous s’il vous plaît mettre ma petite culotte à sècher M. Smith ? »
Alors que le directeur saisie machinalement la petite culotte offerte par Miss Ichinose, celle-ci se lève, va vers la porte vitrée en continuant de se justifier : « Merci mille fois M. Smith, je ne sais pas ce qui s’est passé j’ai soudain eu un coup de chaud, j’ai besoin m’éventer un peu ! »
Ce texte retrouvé dans le journal intime d’Erena Ichinose ne raconte hélas pas la suite de cette histoire…
